Détecter les agrégats de protéines, à l’origine de nombreuses pathologies neurodégénératives, permet de combattre ces maladies. Des scientifiques de l’Institut Européen des membranes et de l’Institut des neurosciences de Montpellier (CNRS/Université de Montpellier) proposent une nouvelle méthode, basée sur l’utilisation de nanopores, qui permet une détection semi-quantitative rapide d’agrégats d’α-synucléine, biomarqueurs de la maladie de Parkinson. Ces résultats sont à retrouver dans la revue ACS Central Science.
Vers un nouvel outil de diagnostic précoce de la maladie de Parkinson