Les progrès récents dans la technologie « nanopores » ont ouverts la possibilités développer des outils pour la détection de la molécule unique et séquençage d’ADN . Toutefois, l’influence de la surface du nanopore sur la translocation de l’ADN n’est pas encore parfaitement comprise. Des chercheurs des départements IP2 et DM3 en collaboration avec le LSI (polytechnique) et l’ICSM se sont penchés sur cette question en étudiant expérimentalement l’influence de l’état de surface de nanopore sur la mobilité et l’énergie barrière polyadenoside. Leurs résultats (Mathilde Lepoitevin et al, Nanotechnology 26 (2015) 144001-> http://iopscience.iop.org/0957-4484/26/14/144001/article]) ont été mis à l’honneur sur le site (nanotechweb.org) et en étant sélectionné par l’éditeur pour intégrer le numéro spécial DNA sequencing . Enfin, ces travaux ont été supportés par l'[axe transverse Membranes pour la santé (projet NeuroBiocapt).